À propos de la recherche

Malgré les multiples défis et difficultés vécus au quotidien, les élèves inuit continuent d’aller à l’école, plusieurs y retournent même, après une période d’absence, et certains obtiennent un diplôme et poursuivent des études universitaires.

Nous avons donc voulu privilégier ces histoires positives en examinant la résilience de ces jeunes inuit.

Tout en reconnaissant le rôle important des parents et de la communauté afin de favoriser la résilience et la motivation des élèves, nous avons choisi de nous concentrer sur l’environnement de l’école, et plus précisément sur la relation entre l’élève et l’enseignant ou l’enseignante.

Les échecs scolaires : des problèmes qui persistent… pourtant

Les problèmes d’échec scolaires persistent malgré l’abondance de recherches qui identifient « les causes » de l’échec.  Les facteurs les plus souvent cités sont les facteurs environnementaux, socio-économiques, familiaux, linguistiques et culturels. Ils sont présentés comme des écarts à estomper, des différences à corriger, des difficultés à contrôler.

[…] Le vécu des jeunes permet également de mieux voir leur grande capacité d’adaptation et de résilience, qui passe souvent inaperçue.

Le but

Le but de cette recherche était donc de comprendre les différences de perception et de compréhension existant entre les élèves inuit et les enseignants (qallunaat et inuit) par rapport aux méthodes/pratiques/approches pédagogiques et aux attitudes en classe et de comprendre leurs conséquences/influences sur la persévérance scolaire et la résilience des élèves.

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Financement

La recherche a été financée sur trois ans (de 2011 à 2014) par le MELS et le FRQSC ainqi qu’avec la collaboration de la Commission scolaire Kativik.

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